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 Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé]

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Harley Quinn




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MessageSujet: Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé]   Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé] I_icon_minitimeSam 28 Juil - 11:31

Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé] Tumblr_m73ved3Tnz1r4moz4o1_500

Il était de retour ! Et il y avait de quoi le fêter dignement. Ah que la vie était devenue plus douce en quelques secondes seulement. Si elle en avait de nouveau perdu sa propre existence elle avait trouvé en remplacement sa nouvelle vie de Harley. De nouveau sur ses genoux et l'âme emplie d'idées les plus tordues les unes que les autres, il semblait que le besoin d'aventure battait jusqu'à l'intérieur de ses tempes où le sang coulait de nouveau à cœur joie. Ce qu'il faisait là, pourquoi. Et cette odeur affreuse de sang. Il y avait eu un mort de plus, elle en aurait mis sa main à couper. Mais qui ? S'il en manquait un elle s'en foutait bien, elle avait retrouvé le seul qui comptait pour elle. Finalement le doigt n'était qu'un échauffement, le véritable spectacle allait commencer. En scène les artistes !

Il sentait un peu le renfermé, mais peu importait. Elle était habituée au maquillage, aux gaz toxiques et aux odeurs âcres qui font plisser le nez. Et si elle avait mis assez de parfum, tout ça ne la dérangeait pas. Assez de blabla. Il était temps pour Général Harley d'écouter les ordres de son supérieur, qu'il en manque un pour jouer la chair à canon n'était pas bien important, de toute façon ça se trouve tellement facilement. Le pingouin pouvait tout s'offrir avec son argent, même un semblant de dignité, alors comment eux n'arriveraient pas à se constituer une nouvelle équipe avec le Charisme du Joker qui passait si bien à la télévision. Elle l'écoutait attentivement mais ne pouvait pas s'empêcher de lui replacer les cheveux en permanence ; Une excuse plus ou moins bien trouvée pour le toucher. Après tout, elle n'avait pas pu le faire depuis tellement longtemps. Quelques mèches, quelques boutons. Tout y passait en revue. Même s'il n'y en avait pas besoin, certains portent tout divinement.

Un vague regard sur la salle. Ils n'avaient pas vraiment d'intimité, ça n'arrivait que rarement. Le crime demande du temps, et il prend sur tout le reste. Une passion dévorante. Ah si elle soupçonnait l'omniprésence de Batman dans le cerveau de son cher et tendre, peut être qu'elle l'aurait déjà assassiné de ses blanches mains. Mais pour l'heure le temps n'était pas aux ressentiments. Ils étaient Back In Business comme on dit. Il n'avait pas bougé. Le bonheur de la retrouver sûrement. Il ne bougeait pas, l'émotion. Toujours et encore l'émotion. Les effusions de sentiments c'était bon pour les adolescents. L'amour Fou, c'était autre chose. Parfois violent, souvent exubérant. C'est de l'amour qu'on force à regarder après avoir attaché les spectateurs. Ca se fête à coup d'hémoglobine sur les murs. Un feu d'artifice d'entrailles et de boyaux. Ca prend aux tripes, et pas que soi.HAHAHAH.

« Oui oui, je cherchais !!! Mais avec juste eux, et sans mon pass j'étais coincée. J'ai failli convaincre un Russe avec un avion de me déposer en haut du bâtiment mais il m'a filé entre les doigts ! »

Saloperie de Russe. Il était bien gentil avec ses belles promesses, mais au moment de partir. Plus personne. Ah décidément, on ne peut pas compter sur grand monde dans ce monde de malade ! Elle aurait à passer une partie de sa frustration, mais personne à cogner dans le proche périmètre. Mais elle pourrait trouver un autre exutoire. Dent était double face. Voilà qui était pour le moins surprenant. Cet homme qui s'était dévoué pour la ville qui aurait si mal tourné. Qui l'aurait cru. Mais à la lumière de cette révélation, peut être qu'un jour la chauve souris elle même tournerait au vinaigre. Et alors là, Gotham serait perdue. Si la pureté peut s'évanouir si facilement, le plus grand des justiciers -pfeuh- pouvait tout à fait se dire que sa cause était perdue d'avance. Seulement, à la longue ils finiraient par s'ennuyer. Elle trépigna légèrement, battant dans ses mains avec enthousiasme.

« Du coup ? Du coup ? Allez, me fait pas languir, j'attends déjà depuis trop longtemps ! »

Il sourit, ça sera grandiose. Besoin d'elle ? Encore mieux.  Il ne manquerait plus que ça. Un retour pour lui annoncer qu'il avait trouvé une nouvelle coéquipière. Ah ça non. La pauvre demoiselle n'en aurait plus pour bien longtemps. Des scorpions dans son lit au réveil, ça pardonne rarement. Ou un serpent sous l'oreiller. Une boite à diable dont l'objet bondissant serait recouvert de poudre toxique ? Du poil à gratter enrichi en acide ? Oh pour ce genre de choses elle avait tellement d'idées géniales. Après une brève bise sur la joue gauche de son partenaire, elle leva les bras bien haut, tournant la tête vers la gauche et le gratifiant d'un clin d'oeil dynamique.

« Bien sur que je suis prête. Je suis TOUJOURS prête ! J'suis chaude comme le premier bâton de dynamite qui fera sauter la baraque mon Lapin ! »

Voila que tout allait être prêt pour partir. Il la fit se relever, elle ne se départissait plus de son sourire. IL sortit des couteaux de sa poche.

« Quelle délicate attention ! »

Elle prit le plus coloré. Après tout c'était la fête. Long, coloré et délicieusement aiguisé. Il annonça leur départ. Elle était prête.

« C'est tellement plus original qu'un restaurant ! »

Elle courut récupérer son manteau après une brève bise sur la joue et l'enfila prestement. Une fois un peu plus loin il lui demanda de récupérer deux trois trucs. Elle hocha la tête et prenant un sac sur un établi, elle prit la porte et disparut, chantonante.

« A tout à l'heure.~  »


Elle connaissait les chemins et son charme n'avait jamais laissé les fournisseurs indifférents. Ca ou le charisme de son verdoyant protecteur d'ailleurs. Choisir rapidement mais méticuleusement deux trois joujoux qui pourraient faire mouche, voilà le deal. . Deux pistolets grenade. Quelques boomerangs tranchants, une dizaine de fioles vertes contenant des fumigènes qui attaquent les yeux, Deux lames pour elle, et un mini bazooka pour lui. Des lunettes avec un zoom intégré pour les voir arriver de loin. Et du sel. Elle mit quelques bâtons de dynamite dans ses poches et revint trouver le vendeur. Le prix fut assez élevé, faute à la crise. Elle sortit le doigt de sa poche.

« C'est ce qui est arrivé au dernier qui a essayé de profiter d'une faible fille. »

« Haha, t'es toujours aussi marrante. Ca me manquait presque de plus te voir. Je suppose qu'IL est revenu ? »

« T'occupe et fais moi profiter des soldes. »

« Bon, c'bien parce que je sais que tu vas pas tarder à revenir. »

« Merci bien. Garde le doigt. »

*De quoi fuir, de quoi faire des étincelles, de quoi se défendre de près et de quoi s'amuser. Parfait , il sera satisfait!

Bon, il était largement temps de regagner le cimetière. Idée étrange mais point de rendez vous astucieux. La police n'irait pas y fouiner et il était légèrement surélevé. De quoi observer les abords du commissariat tranquillement. Suivant les toits de cabriole en cabriole, elle n’eut pas grand mal à arriver à destination. Il était là, a l'heure et souriant. Elle lui fit un vague signe de la main de loin. Une fois à sa hauteur, elle posa le sac à ses pieds et lui tourna autour en l'aspergeant de sel.

« J'ai même pris de quoi chasser les esprits. Hahaha ».

Une fois son tour achevé, elle se posa à sa droite et lui prit le bras.

« La nuit est tellement belle...Mais elle manque de couleurs. »
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Joker

Joker


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Localisation : Partout et nulle part =D


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MessageSujet: Re: Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé]   Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé] I_icon_minitimeSam 28 Juil - 13:04

La liberté, un goût délicieux, au parfum délicat, la nuit était belle. Le ciel légèrement couvert, mais la lune ne cessait de briller. Le vent se lever dans les arbres, les faisant chanter doucement, une douce mélodie qui allait bientôt être agrémenté, de boom et de bang à souhait, l’excitation était à son comble. Je me dirigeai discrètement vers le point de rendez-vous que j’avais donné à Harley. Les ruelles n’étaient pas beaucoup fréquentés ou par des mal famés, quel classe. Désespérant de voir le monde ainsi, des épaves ivres sur le bord du trottoir ou allongé dans le caniveau à dégueuler leurs tripes, charmante vision. Des déchets qui nous pollue l’air encore plus sauvagement qu’un gaz toxique, quelle horreur. Ce soir rien ne pouvait me mettre de mauvaise humeur, je voulais voir les choses exploser, sentir l’odeur du cadavre cramé, je ne m’imaginais pas encore comment Dent voyait les choses, ce type m’avait un peu surpris, je dois le reconnaître, comment pouvait-on basculer aussi facilement de l’autre côté de la barrière, ça devait être encré en lui finalement, écris dans ses gènes, il fallait simplement allumer la mèche pour que le grand méchant loup pointe sa gueule vers les ténèbres.

En avançant dans une des rues, j’aperçus les flics qui passaient dans la rue perpendiculaire à celle dans laquelle j’étais, je me suis vite mis à l’abri discrètement. Ils allaient me foutre en retard ces cons et j’ai horreur de ça. J’espérais qu’Harley avait trouvé de quoi prendre les devants. La voie était libre de nouveau. Je sortis de ma pseudo cachette, je relevais ma veste dans un mouvement d’épaule, petite torsion du coup, vieux tic nerveux avec ma bouche et je reprenais ma route.

*Pourvu qu’Harley soit à l’heure avec de beau cadeau.*

Les lampadaires éclairaient doucement les rues, je regardais attentivement avant de m’engager dans l’une d’entre elle, il fallait se montrer prudent, la fête n’avait pas encore commencé et je ne comptais pas la manquer. J’avais attendu de sortir bien trop longtemps, mon imagination avait été débordante dans cette cellule, j’avais besoin de mettre en pratique mes idées. Pour le moment nous allions nous contenter d’écouter Double Face, de toute façon, j’avais besoin de savoir ce qu’il avait dans le crâne avant d’agir, savoir si je serais du côté de Dent ou du mien. Il était hors de question que je m’associe à quelque chose que je désapprouvais, par conséquent ce qui allait se dire ce soir était d’une importance capitale pour le déroulement finale.

Je n’arrivais pas encore à donner de pronostique, il allait falloir que je me montre un peu plus patient qu’à mon habitude, j’avançais dans la pénombre des rues, tentant de fuir la lumière le plus possible. C’est sans doute con, mais en ce moment je me voyais bien me noyer dans une douche bien froide et bien énergisante, mais j’étais trop pressé de connaître la suite, se serait pour le retour. L’odeur du cadavre m’avait ouvert l’appétit, je regrettais de ne pas avoir assez joué avec avant de le descendre, j’étais trop impatient.

J’arrivais aux abords des lieux dit. Je restais dans un coin à regarder ce qui se passait. C’était désert, pour le moment, en même temps l’action se situé sous nos pieds. Je penchai la tête en arrière et commençai à scruter le ciel.

*Que ces tours sont hautes ! Je les ferais bien rétrécir de quelques étages !!!*

L’action m’avait manqué à Arkham, les choses allaient enfin s’arranger, mais des mois de silence alors que je ne demandais qu’à m’exprimer, m’avais tué, il était grand temps que le Joker reprenne du service. Une silhouette familière arriva discrètement, ça ne fit qu’un tour dans ma tête et je ne pouvais pas rater Harley. Nous étions aux abords du cimetière, un point de rendez-vous quelque peu stratégique. L’endroit était désert et c’est ce qu’il fallait. Harley fit toute sa petite mise en scène pour me mettre l’eau à la bouche, elle me faisait rire, je souriais donc à pleine dent.

« -Ma douce, tu as pensé à tout ! Tu es formidable, nous allons pouvoir aller écouter ce que notre cher Dent a à nous raconter. »

Elle se mit sur ma droite, me crocha le bras comme à son habitude. J’écoutais le son de sa voix résonner dans le silence. Je déposai un baiser délicat sur sa tempe avant de continuer la conversation.

« -Cela ne va pas durer princesse… Je t’offrirais prochainement le plus beau feu d’artifice de toute ta vie, le ciel sera clair, couleur chaude, l’odeur sera cramée et nous pourrions sans aucun doute faire péter quelques pétards de couleur. »

Un bref silence s’installa, il fut de courte durée, je m’imaginais déjà la scène.

« - Oh poussin ! Imagine avec moi cette scène merveilleuse. » Je fais un grand geste du bras gauche voulant monter la grandeur de ce qui sera notre prochaine action. « -Ferme les yeux et imagine, le bruit des cris, les gens qui courent et qui s’affolent… Le bruit des explosions, la couleur sang sur le sol, le bruit des armes à feux, les cris de pitié… Les couleurs qui viendront éclairer le ciel… Bébé se sera mémorable… »

Je voyais les choses en grand, je ne voulais pas qu’on me prenne pour un rigolo, il était temps que l’on marque le temps, il était temps que nous montrions de quoi nous étions capable. Je sortis de mes pensées. Je me penchai au dessus du sac, prenant les joujoux que ma tendre avait apporté. Je n’’étais pas déçu, pour le coup j’avais été mauvaise langue, elle avait pensé à tout. Je la regarde et ajoute.

« -Ecoutes attentivement ce que je vais te dire poussin. » Je l’attrape par les épaules et la tourne vers moi, pour qu’elle me fasse face. Je parle doucement et calmement, elle doit comprendre tout ce que je lui dis. « -Tu vas prendre quelques joujoux pour descendre, tu vas rejoindre la fameuse réunion, tu vas écouter attentivement ce que Dent va dire, tu poseras les questions nécessaire, tu restes discrète, très discrète pour le moment. Quand tu reviendras pour me faire le rapport, tu auras pris le temps de voir qui était présent et un rapport détaillé de ce qu’il s’est dit. Tu te sens capable de gérer ça toute seule ? »

Je venais à peine de sortir de cellule que j’étais déjà entrain de me mettre dans les coups fourrés. Certain aurait attendu, mais moi je dis qu’il vaut mieux battre le fer quand il est chaud. J’allais devoir m’organiser de mon côté aussi, juste au cas-où.

« -On fêtera nos retrouvailles plus tard, je te le promet »

*Une promesse, j’en fais de bonne des fois !*

« -Aller file, tu n’as plus beaucoup de temps devant toi. »

J’attendais patiemment que ma délicieuse Harley descende dans les égouts, attendant avec une grande impatience de savoir ce qu’il se dirait là dedans.
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Harley Quinn




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MessageSujet: Re: Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé]   Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé] I_icon_minitimeSam 28 Juil - 16:24

Mettre du cœur à l'ouvrage. Voilà qui redonne du peps à une vie devenue un peu trop monotone un peu trop vite. Et alors qu'elle marchait tranquillement sur le chemin du retour, mille idées tournaient en rond dans son cerveau. Ils avaient encore tant à faire et pouvaient en faire tout autant ! « The Killing Joke » n'était qu'un début. Les ponts c'était bon pour les débutants, c'était tout au plus un prolongue avec choeur et tambours, cri et dynamite. Que l'apéritif. Le plat principal serait en plusieurs parties et serait bien plus impressionnant. Si elle n'avait pas beaucoup d'idées, Mister J lui était un élément de surprise constant. Privilège rare confié par la maladie aux quelques élus plus ou moins chanceux. Elle n'en était pas encore totalement, mais ses sauts d'humeur y contribuaient amplement. La maladie d'amour est bien plus terrible que certaines autres avérées et reconnues. Elle était revenue le cœur et l'esprit tellement légers qu'elle aurait presque pu s'envoler si elle n'avait pas été si chargée. Elle n'avait pas mis longtemps à trouver le chemin du retour. Elle ne pouvait pas s'empêcher de se dire que c'était pour la simple et bonne raison qu'ils étaient reliés par une force mystérieuse. Cependant la véritable cause était que ses quelques errances nocturnes avaient grandement amélioré son sens de l'orientation sans qu'elle s'en rende compte.

Elle voyait tout en rouge noir et vert. Un peu de violet peut être. C'était beau le violet. Et des promenades dans cette nuit éclairée par les lampadaires de Gotham. Oh oui il restait beaucoup de choses à faire à tous les niveaux. Et ils avaient le temps et l'envie. Délicieuse soirée, délicieuse journée. Elle sentait encore un l'alcool mais peu importait, des chaussures ça se trouvait tellement facilement de nos jours. Elle pourrait en piquer tellement facilement. Oh oui, une paire de chaussures ! Mais plus tard, elle était encore en mission, elle devait ramener les munitions. ~ Un signe et du sel.

Il souriait. Ah qu'elle aimait ce sourire. C'était souvent bon signe. Enfin. Non. Il y avait deux sourires du Joker. Mais pour celle qui avait eû à chasser certains de ses doutes il n'y avait pas à hésiter une seule seconde. Il y avait le sourire carnassier, celui du criminel, et derrière, tout derrière, ces vrais sourires d'homme. Un sourire du cœur, un sourire sincère qui fait naitre cette ride particulière au coin de l'oeil et qui fait trembler les pupilles. Tout comme il y avait ces embrassades où elle pouvait sentir son cœur se troubler et son corps trembler. Il n'y avait pas de doute, même quand parfois il se faisait violent il se passait quelque chose de fort entre eux. Et d'ailleurs, si elle était de si bonne humeur c'est que les retrouvailles avaient éloigné la violence caractéristique de son cher et tendre. Ca ne serait certainement que de très courte durée, mais elle avait appris à profiter comme il se doit. On ne refuse pas un cadeau !

Il avait embrassé sa tempe, elle avait souri. Elle posa sa tête un peu contre son bras et respira très profondément. Cet air traversa chaque partie de son corps avant de ressortir par le même chemin. Elle était tellement bien, tellement..Vivante. Elle profitait de ce moment d'intimité, c'était rare. Il y avait toujours du monde au repaire, en mission et il ne venait pas toujours passer les soirées en sa compagnie dans l'appartement. Elle devrait d'ailleurs lui montrer ce qu'elle avait fait de son cadeau ! Mais pas toute de suite. Pour le moment, elle profitait des sons de la nuit, ainsi que de la voix qui avait tant manqué à ses oreilles qui la berçait avec ses douces histoires.

« Et je sais que tu le feras. Je veux du vert et du rouge ! J'veux que ça pique le nez. J'veux qu'on en pleure de douleur autant qu'ils pleureront leurs disparus ! »

La douleur causée par les explosifs la grisait. C'était une des rares qui lui donnaient la satisfaction du travail bien accompli. Cette odeur âcre et rance qui émanait des combustibles carbonisés attaquaient les yeux, elle s'y était habituée à force, ça n'avait pas été si facile, mais on se fait à tout. Elle aurait trépigné si elle ne s'était pas si bien placée contre ce bras chaud masqué divinement sous cette veste qui sentait plus le mâle que l'eau de Cologne. La chaleur des combustibles n'aurait d'égal que celle de son sourire.

L'imaginer était tellement facile . Elle passait ses journées d'absence à l'imaginer à ses côtés. Elle se voyait aussi bien dans des scènes journalières que dans un futur hypothétique. Elle le voyait partout, elle se voyait non loin derrière, toujours, à tout jamais. La scène fut aisée à concevoir. Il serait là, riant et à bonne distance du brasier, l'air serait chargé de particules corrosives. Ses paupières bougeaient au rythme de ses fantaisies, elle pouvait presque vivre la scène, ses doigts se ressassèrent provisoirement sur ce bras chéri et ce jusqu'à ce qu'elle ouvre les yeux finalement, ravivée par cette ellipse.

« M-E-M-O-R-A-B-L-E, comme d'habitude, poussin !  Tu as toujours eu le chic pour voir et faire les choses en GRAND !»

Il avait l'air ravi de ce qu'elle avait rapporté. Mains jointes dans le dos, elle dansait d'un pied sur l'autre très légèrement. Elle souriait toujours. Et voilà qu'il s'approcha d'elle, mains sur les épaules. Elle se troubla légèrement. Mais rien de romantique, que de la mise au point et du refilage de mission. C'était tellement plus simple de ne pas se mouiller hein..Charmante attention, il lui faisait assez confiance pour prendre le risque de l'envoyer. Et après tout il avait tout prévu n'est ce pas..N'est ce pas ? Elle fit la moue. Déjà ils allaient être séparés..Elle accusa le coup quelque secondes et finalement retrouva de son piquant. Elle haussa un sourcil avec un petit sourire. Elle remit le couteau dans la poche, embrassa sa joue droite et elle partit en courant.

La réunion se tenait bien dans les égoûts. Ce qui s'y passa ? Bien peu. Il y avait beaucoup de criminels en ville. Le doublement figuré voulait tout simplement s'attaquer à la mafia qui selon lui était une gangrène pour la ville de Gotham. Le politicien déchu voulait s'attaquer à la pègre. Rien que ça. On devait se rassembler pour mieux régner par la suite. Restant discrète, elle avait fait tout son possible pour marquer son accord tout de suite. Après tout, il avait été libéré par le chef d'assemblée. Une ravissante rousse avait parlé la première pour joindre sa participation à la chose, elle l'avait trouvée d'emblée sympathique. Un petit homme disgracieux voulait être certain de gagner quelque chose de palpable dans la bataille avant de se lancer. Compréhensible mais ridicule. Il voulait gagner gros et éviter les chiens boiteux. Détestable, redoutable certainement. Elle imprima ce visage dans son esprit, ça pourrait toujours servir. La rousse s'était rapprochée d'elle, renforçant son sentiment de sympathie. Elle s'en sentit d'ailleurs étrangement sereine. Pendant quelques instants, elle en oublia qu'elle était attendue dehors, et pas par n'importe qui. La plantureuse Rousse avait pris sa défense, mettant en avant le Duo, il revint immédiatement dans sa mémoire. Un un peu moins sympathique remit tout le monde à sa place en mettant la présence potentielle des flics en avant. Elle trembla légèrement, il était dehors, seul à leur merci. Le chevalier blanc promit monts et merveilles. Argent, pouvoir, territoires. Alléchant, mais elle avait retenu chacune des épines plantées sous leurs pieds par les éventuels participants.

*C'était donc ça...Son fameux projet...*

Après une vague menace, un tirage de pièce et quelques gestes déplacés, le sceptique fut converti. Il faut dire que c'était plutôt musclé. C'était décidé. On allait liquider la mafia et son chef tous ensemble. Personne n'évoqua ouvertement le Joker. Était il craint ou oublié ? Déjà ? Oh que non ! Le plus tôt était le mieux. Bla bla bla. Elle supporta le petit discours sur la psycho-généalogie de la petite famille et prit congé de la ravissante Ivy dont la présence adoucissait considérablement ses mœurs. Il était temps de remonter, et elle était encore armée. Prudente elle regagna la surface, et revint calmement auprès de son ami.

Elle minaudait, mains dans le dos.

« Me revoilaaaa. Tu devineras jamais ce que j'ai appriiiis. Je sais touuuuuut ! »

Forte des informations qu'elle détenait, et en quête d'une affection que l'absence d'Ivy avait rendue plus mordante encore, elle se permit de minauder encore un peu.

« Mais qu'est ce que tu es prêt à donner pour avoir ces informations mon biquet, hein, quoiiiii ? »

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Master Rp

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MessageSujet: Re: Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé]   Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé] I_icon_minitimeSam 28 Juil - 17:55

Double-Face

Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé] Twofac11

La réunion avait sonné le glas de la Mafia en ville, ce n’était plus qu’une question de temps avant que les parrains ne soient assassinés avec une rare violence. Une plaque d’égout s’ouvrit dans une rue recouverte de vieux journaux jaunis qui dataient de plus d’un mois et de sac d’ordures renversés. La bouche d’égout livra le passage à Double-Face qui sortit lentement en s’aidant de ses deux mains comme une âme si noire qu’il venait d’être recraché de l’enfer, le diable n’avait pas voulu de lui. Il marcha en direction du commissariat en se laissant envahir par les souvenirs de Dent.

Calme plat dans la salle de permanence, la police de Gotham City tournait à effectif réduit à partir de minuit. 8 lieutenants prenaient les appels d’urgence venus de toute la ville, ils étaient payés à roupiller ou à se bouger en vitesse. Il arrivait à Dent de venir jusqu’ici tard dans la nuit pour consulter les dossiers de la police, parfois avec Batman entré par effraction. Les salles de permanence en pleine nuit le consolaient de ses déroutes avec les criminels dans les tribunaux. Un commissariat à cette heure-ci c’étaient des tableaux figés de la vie de flic. Salle silencieuse, flics somnolant, pochetons de la cellule de dégrisement en train de ronfler.

Il sortit de ses souvenirs en arrivant sur les hauteurs du cimetière pour contempler le commissariat. Là, un groupe au milieu des tombes. Des clowns et leur roi. Double-Face s’avança à la lumière des réverbères. Les clowns du Joker pâlirent en voyant son visage, il y avait donc des stigmates du visage pire encore que ceux de leur chef ?

« Le couple infernale, je me demande à quoi ressembleront vos enfants vu vos têtes d’irrécupérables. »

Double-Face sortit son arme à feu de sa veste et bascula le barillet, il en fit tomber 5 cartouches qu’il rangea dans sa poche. L’un des sbires du Joker gloussa. Double-Face fit tourner le barillet. Le clown se marra encore plus.

« Regardez patron, il croit qu’il fait peur ! »

Double-Face porta le canon à la tempe du fâcheux et pressa la détente, le chien percuta une chambre vide. Le clown effrayé se recula derrière le Joker.

« Dent n’aurais jamais cru qu’il se retrouverait un jour réduit à s’associer à toi pour obtenir vengeance. Je me demande ce que ça aurais fait si Dent avait dû organiser ton procès. A mon avis ce brave Harvey n’aurait pas réclamé l’enfermement à vis, mais il t’aurait organisé un petit rencard bien brûlant pour toi et ta chérie avec la chaise électrique de la prison de Blackgate. »

Double-Face se tourna vers le commissariat et s’interrogea :

« Tous ces flics, ils ont le droit de survivre et de périr. Seul le hasard peu le décider pas vrai ? Après tout, si on va entrer dans ce cloaque par la force, c’est uniquement pour régler son compte à Maroni, il faudrait leur donner une chance de survivre non ? »

Il rechargea son arme et sortit aussi sa pièce fétiche balafré.

« Pile, je tire sur le commissariat d’ici pour les prévenir de l’attaque et leur laisser l’occasion de fuir ou de préparer leur défense. Face, je ne tire pas et on les attaques par surprise, ils vont tous y passer. »

Il lança sa pièce en l’air, elle raterrit dans un bruit sourd dans sa main et il la fixa avec intention.

« Face, le hasard est cruel avec eux, ils vont tous mourir dans l’heure. »

Il rangea son arme et tourna le dos au couple Joker-Harley tout en quittant le cimetière et en lâchant au passage :

« A vous de jouer les enfants, c’est quand vous voudrez, je m’en fais annoncer les réjouissances en passant devant. »

Il marcha d’un pas vif jusqu’au commissariat, il ouvrit la porte d’un grand coup de pied en entrant. Effet raté, l’officier de permanence derrière son guichet somnolait. Double-face passa devant sans chercher plus loin. Il avait presque pitié de lui, Joker et sa suite allaient arriver juste derrière lui et se chargeraient eux de le réveiller…

L’ex-procureur marcha vite dans les couloirs en entendant des clochards avinés hurler au fond de leur cellule. En ancien habitué des lieux, Double-Face passa dans la salle de garde garni de bureaux d’un mur à l’autre. Les flics qui en assuraient le service de nuit tapaient sur les claviers de leurs ordis avec un seul doigt en cherchant la bonne touche. Ils levèrent la tête et virent Dent passer avec une surprise et une incompréhension totale. Pas un seul flic ne dégaina son arme et ne tenta de l’arrêter. Jamais ils n’auraient pu concevoir que le criminel le plus en vue du moment, le grand héros déchus, celui qui avait organisé l’évasion générale d’Arkham s’amène ici le plus tranquillement du monde et marche dans le commissariat sans faire attention à eux comme s’ils n’étaient même pas là.

Alors qu’ils s’interrogeaient encore sur l’hallucination qu’ils venaient de voir, le criminel entra dans le couloir des cellules et s’avança entre les rangées de cages. Il les passa en revue. Les taulards gesticulaient, trépignaient et l’acclamaient, ils croyaient qu’il était venus tous les délivrer comme il l’avait fait avec les détenus d’Arkham. Mais lui ne trouvait pas Maroni dans aucune cellule. Tout à coup il aperçut un mafieux dans une cage qui était assis par terre. Il le reconnut aussitôt. Le gros bras du parrain qui l’avait insulté et envoyé une boîte de conserve sur lui lorsqu’il était venus assister à l’arrestation de Maroni juste avant le procès qui avait vu sa défiguration. C’était le moment de le faire payer. Il sortit son arme, tira sur la serrure et entra dans la cage avec lui comme un carnassier s’approchant de sa proie.

« D..D..Dent ! V..v..vous êtes mort ! »

« A moitié seulement. Regarde cette pièce, pile je te tue décemment d’une balle dans la tête, face je te tue d’une manière humiliante. Après tout c’est ça que tu as cherché à faire avec Dent, l’humilier. »

Il lança la pièce et l’attrapa avant même qu’elle ne retombe vers lui et il contempla le résultat avec un sourire mauvais.

« Face ! »

Double-Face l’attrapa par la nuque, lui balança un coup au corps et le traina jusqu’à la cuvette des toilettes, il lui plongea la tête dedans et la maintint dans cette position.
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MessageSujet: Re: Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé]   Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé] I_icon_minitimeDim 29 Juil - 13:14

Organiser ce genre d’événement n’était pas une mince affaire, il fallait réunir les gars, leur expliquer les grosses lignes, il ne fallait pas s’attarder sur les détails avec eux, de toute façon, ils ne comprendraient rien du tout. Il était temps que les choses changent et ce soir serait déterminant pour cela. Déjà les meilleurs ressortiraient, les autres seront mort ou derrière les barreaux, ce soir on allait faire le ménage, restait plus qu’à réunir tout le monde près du cimetière, je profitai donc de la descente d’Harley dans les égouts pour les faire rappliquer.

Le temps passait, je restais discret dans un petit coin attendant que mes guignols arrivent. Harley fut plus rapide qu’eux. Je regardais son visage, j’avais le sourire crispé, elle attendait quoi pour me raconter ce que j’avais besoin de savoir ?

« -Tu sais ma douce, je ne t’offrirais rien… Par contre je peux te dire ce que je ferais si tu ne me donne pas les réponses. »

Je passai dans son dos et murmura près de son oreille.

« -Je pourrais buter un ou deux sbires, tu sais ce qui te plaisent le plus, tu ne voudrais qu’on perde nos meilleurs éléments dis-moi ? Est-ce que tu aimerais les entendre hurler, parce que je ne me montrerais pas tendre avec eux et je t’offrirais ce spectacle en vidéo. Alors es-tu certaine de vouloir me faire languir ? »

Il me fallait les détails et vite, les sbires allaient arriver, il fallait qu’on s’organise un minimum, les seuls consignes qu’ils avaient reçu, étaient de venir armés et camouflés. Ils ne mirent plus longtemps à arriver. On se regroupa près du cimetière quand Dent fit son entrée. Pitoyable d’ailleurs. J’étais là devant eux à l’écoutait parler. Je me mis à rire devant sa première remarque.

« -Ce qui me rassure c’est qu’ils n’auront pas ta face… A toi de deviner de laquelle je parle… »

Je sautille sur place et ris de plus belle. Dans les groupes, on a toujours des rigolos, vous savez, ce genre de chien galeux là, le vilain petit canard, celui qui risque fortement de vous faire perdre les pédales, je n’aime pas ce genre de type, je suis plutôt du genre discret et je n’apprécie guère les gens qui se la pètent, j’aurais aimé que la balle parte, mais il avait eu de la chance. Enfin pour le moment, tout en écoutant Dent, je sortis un couteau de ma poche, je me mis à jouer avec. Sourire aux lèvres je me retournai vers notre vilain petit canard. Je fis non de la tête doucement… J’avais néanmoins les oreilles attentives sur ce que nous disait face de rat. Je me retournai vers Double Face.

Tous son blabla me fatiguais, c’était long et inutile, enfin pour moi, ça lui faisait surement plaisir de ce la jouer théâtrale.

« -Je ne fais pas cela pour t’aider, les Maroni je m’en fou royalement, c’est ton problème, moi je viens foutre le bordel et apprécier le spectacle, ne voit pas dans cela une collaboration. » Je pris une petite pause. « - La peine capitale ? Tu me fais de la peine là !»

Encore du blabla, les hommes politiques font toujours de beau discours.

« -Et si on arrêtait de blablater et qu’on passait à l’action ? »

Il continuait de parler, je passais mes mains sur mon visage, mais bon dieu qu’attendait-il ? Pile ou face, mais qu’est-ce qu’on s’en fou, rentrons dedans un point c’est tout.

« -Tu veux savoir ton soucis Dent… Tu parles trop… C’est ton côté politicien ça ! Tu veux Maroni, il est dans cette bâtisse, entres et fais un carnage, les discours, c’est bof.»

La pièce avait parlé, tout son discours pour finalement liquider tout le monde, on n’avait pas besoin de sa pièce pour savoir ça, je ne laisse jamais de témoin ou le moins possible et les plus intéressant. Et maintenant c’est quand on veut, si c’était quand je voulais, on serait déjà dans le commissariat. Je lève les yeux au ciel et fais signe aux gars de me suivre en levant le bras et en le faisant basculer vers l’avant. Je reste derrière avec Harley, je prends le sac qu’elle a ramené avec moi.

Le gardien à l’entrée fut surpris de notre arrivé. Il n’a pas eu le temps de donner l’alerte, ce qui est bien avec ses types, c’est que réellement face à n’importe qu’elle type armé, ils se chient dessus. Je sortis un canif de ma poche. Deux gars à moi le tenaient en joue, je souriais et fit signe que je m’en chargerais, j’avais deux trois idées derrières la tête, il me fallait un passe pour me facilité la tâche. Je pris place sur ses genoux, je pris son arme et plaça mon couteau sur sa jugulaire.

« -Tu as une femme et des enfants je suppose… » Je regardai le nom qui était inscrit sur son badge et ajouta. « -Monsieur Marsh ? »

« -Oui oui j’ai une femme et des enfants…. »

« -Et se serait dommage de ne pas pouvoir rentrer chez toi n’est-ce pas ? »

Il se contenta d’acquiescer.

« -Du coup tu vas être très docile et tout se passera bien. Je veux ton passe, je veux savoir ou se trouve les archives et les dossiers en générales. Près pour l’explication ? Surtout, surtout. » Dis-je en agitant mon couteau sous son nez. « -N’essayes pas de me doubler, je risquerais de très mal le prendre… » Tic nerveux avec la bouche… « -Tu sais, je n’ai pas de pitié, pas de cœur, voir des gosses pleuraient j’adore ça… Je n’hésiterais pas… » J’affichai ensuite un très large sourire.

Il m’expliqua ce que je voulais entendre, j’entends déjà le bordel plus loin, ça n’allait pas être une mince affaire. Foutre le bordel ici sans faire revenir l’intégralité des flics de Gotham, il allait falloir faire très vite. Vite fait bien fait, nous avions une légère longueur d’avance.

*Un bureau à l’étage et un le reste dans le sous-sol… Super dans le genre compliqué. Il va falloir ruser là… *

Je me détourne vers Harley.

« -Tiens je te le laisse amuses-toi. Il va falloir qu’on fasse un peu de ménage et qu’on se sépare pour récupérer deux trois bricoles qui pourraient être utile plus tard… »

Je lui lance le badge. Claque doucement la joue de l’agent en riant.

« -Tu as été un brave gars… Je suis fier de toi ! Elle est plus sadique que moi désolé, mais tu noteras que j’ai tenu parole. »

Je laissais le destin de ce type au creux des mains d’Harley, le sac posé sur le bureau, elle avait de quoi s’amuser un peu et il fallait qu’on se dépêche. Je descends de sur ces genoux et laisse mon ombre prendre le relai, je m’approche d’Harley et lui dit discrètement.

« -Par contre il ne faut pas qu’on traîne vite fait, bien fait poussin… On a du pain sur la planche. Tu iras au sous-sol, fais exploser, tires sur les portes, comme tu veux, mais trouves des choses intéressantes d’accord, des trucs qui pourront nous servir pour des futurs collaborations par exemple, mais avant toute chose, fini moi ce poulet et fais lui un beau sourire. »

Vu le bruit que j'entendais en fond, il y avait du grabuge, il était tant de passer à la pièce suivante.

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Harley Quinn




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MessageSujet: Re: Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé]   Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé] I_icon_minitimeDim 29 Juil - 15:08

Si elle aimait essayer de prendre parfois l'ascendant sur son cher et tendre, c'était hélàs bien rare qu'elle y arrive. La pauvre Harley était attachée à bien trop de choses pour faire un maître chanteur digne de ce nom. Peut on faire chanter l'oiseau de son cœur ? Certains clament haut et fort que bien entendu. Seulement, la jeune Quinzell ne l'entendait plus de cette oreille depuis cette fameuse nuit. Elle le savait pourtant que ces petits trucs allaient lui retomber sur le coin de la figure, elle le savait. Mais comme le dit la maxime..Non, y a pas de maxime mais c'est évident qu'on a beau savoir qu'il faut pas, ça ne nous empêche pas de le faire. C'était déjà arrivé par le passé. Et alors qu'il évoquait le massacre possible de ses deux ou trois chouchous de l'équipe, ce fragment de passé lui revint. Elle émit un « Oh ! » d'outrage et croisa les bras, regardant ailleurs. Le frapper n'aurait servi à rien, et puis..Les souvenirs.

~Flashback.

« Diiis, tu fais quoi ? »
« Rentre chez toi. »
« Alleeeez, dis moi »
« T'as pas besoin de savoir. »
La jeune demoiselle s'approche pour regarder par dessus l'épaule . C'est coloré, mais ça a une drôle d'odeur.
« C'est une surprise pour moi ? »
Premier mouvement brusque. Elle est écartée par un bras qui s'allonge brusquement, la poussant vers la pièce. On ne s’embarrasse plus de mots.
« C'est pour une autre..Je suis SURE que c'est pour une autre..hein, AVOUE ! »
Et voilà la jalousie. Encore et toujours . Il ne réagit pas, elle fond en larmes. Il reste insensible.
« Pourquoi tu me fais ça hein..Pourquoi... »
Toujours aucune réaction. Ah si. Après deux bonnes minutes de paroles agressives, il se lève d'une traite et se dirige vers elle. Il la prend par la gorge. Elle ne bouge pas. Il rapproche son visage du sien. 
« Tu vas la fermer..Très vite..Sinon, tu vas le regretter. »
Elle opine du chef. Quand il la regarde comme ça, elle ne vaut pas plus que les autres. Elle le sait. Il la relâche, elle se laisse tomber au sol.
Le temps passe, un peu. Le silence. Il finit par rire. Elle redresse la tête. Voila qu'il a l'air de meilleure humeur. Il frappe la table du poing. Quelque chose cloche. Il faut garder le silence. Garder le silence, surtout garder le silence. Voila qu'il s'emporte. La table a volé, et elle est encore au sol. Elle sait que dans ces instants de fureur il faut rester loin. Seulement, elle l'aime. Alors elle se lève et s'approche de lui. Mauvaise idée. Mauvais réflexe ou volonté mauvaise, elle ne le saurait jamais, mais la lame de ce couteau qui ne le quittait presque jamais s'enfonça au dessus de son coude. Sa main rejoignit la blessure aussi sec.
« AAAAAA »
«TA GUEULE »
Et voilà que prise par ce même bras, elle sentit le plat de cette main s'abattre sur son visage. Retenue avec poigne par le bras, elle n'en toucha pas le sol, mais aussitôt redressée par l'impulsion donnée par Mister J, elle se fit envoyer contre le mur sans aucune douceur.
« Casses toi. Je veux plus jamais te voir. »
C'était la colère. Elle le savait aussi. Souvent il l'avait envoyée balader. Peut être que dans trois jours elle recevrait un petit mot dans sa boite aux lettres. Deux mots, peut être un « Désolé ». mais pour le moment, c'est en larmes qu'elle ouvrit la porte à côté de laquelle elle avait été envoyée. Cette dernière phrase avait coupée nette toute la colère qu'elle gardait pour récidiver, la changeant en mélancolie. Dévastée, Harley rentra dans son petit appartement.

~

Elle se frottait le coude distraitement, le regard dans le vide. Elle avait horreur de ces flashbacks, et pourtant, quand il était violent ou faisait preuve de cruauté. Quand il n'était pas la aussi, ça lui revenait comme des taches indélébiles sur une feuille où un T-shirt. Elle n'avait même pas fait attention à l'arrivée du bi-phasé. Ils avaient bougé. Ils étaient un peu plus loin. Elle secoua la tête vivement de gauche à droite et reprit son sourire d'apparat. C'était passé. Elle pouvait les rejoindre. Et puis, l'évocation d'éventuels enfants ne pouvait que la réjouir. Elle décroisa les bras et posa ses mains sur ses hanches. C'était une mauvaise idée d'attaquer le commissariat en civil, elle serait reconnue tellement facilement...Et pas de maquillage, ni de tenue, nulle part. Il était trop tard pour rentrer. Ah si elle avait pu y penser avant. Un gars un peu trop bon public avait failli se faire faire sauter la cervelle.

*On en manque des choses quand on s'amuse.*

Elle se rapprocha du Joker silencieusement et croisa les bras. Ce n'était que le commencement. L'évocation de la chaise électrique la fit sourire. Partir en étincelles, il y avait de l'idée, même si elle était mauvaise. Au moins il avait du talent pour manier les mots. Ca devenait rare les hommes comme ça. Faudrait le garder si un jour on en venait à l'attraper. Du moins, pas s'en débarrasser trop vite. Mais le blabla et les effets de style, ça lui démangeait vite la gâchette à Mister J. Elle jeta un regard rapide à ses deux préférés en question pour vérifier-après une longue absence de réflexion- qu'ils étaient toujours en vie.  Oui. Ouf ! J ne voulait pas protéger le rigolo, ce fut donc Harley qui le prit par les épaules pour le dégager de derrière avec un air on ne peut moins conciliant.

L'action ! Voila donc le mot moteur du clown. A ce signal verbal, elle savait qu'ilé tait temps d'être utile. Ah ça, il l'avait bien dressée la blondinette. A la lettre qu'elle était prête. La pièce. Ce vieux truc. C'était une bonne idée pour ne plus être responsable de ses actes..Elle pourrait peut être y songer. Plus tard. Il prend le sac, les autres foncent. On y va un peu plus lentement, mais tout aussi sûrement. Tremblez misérables, Le couple le plus Explosif de Gotham va faire son entrée ! Fière et silencieuse, elle suit.

Voila qu'il commençait à faire mumuse avec le premier gardien. Il venait d'être libéré, il avait bien le droit à un petit quelque chose. Elle le regarda avec ce petit air qu'on lui voyait souvent. Un mélange étrange d'amusement et d’attendrissement. Il s'était assis sur le pauvre homme qui n'en avait peut être plus pour longtemps. Elle prit son temps pour observer le bâtiment. Ils étaient quand même culottés, c'était super bien gardé.

*Harley, pense aux caméras..harley pense aux caméras..Harley p..Qu'il est mignon quand il fait ce genre de choses ♥ *

Il le faisait très souvent d'ailleurs. Cette manie de dire des atrocités avec une voix douce et un air presque maternel. C'était délicieusement décadent et tellement touchant. Mais bien moins amusant quand ça lui était destiné. Elle secoua légèrement la tête. Au moins là, il n'y aurait pas de femmes pour lui faire de l'ombre. A moins que..Dans les cellules. Toutes les criminelles n'avaient pas encore été libérées si ? Elle devrait veiller au grain. Elle commençait à faire la moue. Oubliées les caméras.

Elle récupéra le pass au vol et le gratifia d'un clin d'oeil. Rapidité et efficacité. Il n'aurait pas le temps de flirter. Il s'approcha. Elle fut au fait des directives. Elle hocha la tête. « On se retrouve à la sortie avant que la cavalerie débarque, mon chéri !  En mode père noël. Bien compris !»La jolie demoiselle décocha un baiser sur la joue de son Roméo qui s'éloigna pour aller régler ses affaires de son côté. Harley s'approcha donc du pauvre hère.

« Mon pauvre....Ca fait mal ? Harley va arranger ça. »

Elle déposa un bref baiser sur la joue , le regarda quelques instants avec presque de la pitié.

« Allez, tu viens avec moi, faudrait pas que tu puisses alerter tes petits copains. »

Elle le chopa par le cou.

« D'abord. Est ce que vous avez du maquillage quelque part ? »
« Euh, peut être. On confisque tous les objets personnels..Et..Quelques filles de la nuit passent la nuit au poste parfois..Donc..euh. »
« Très bien. »
Elle se placa agilement derrière lui, tirant le col depuis derrière cette fois çi. Faisant bien attention à ce que sa jugulaire se sente à l'étroit.
« Vous me faites mal. »
« C'est la vie qui est injuste mon p'tit père. Moi j'y suis pour rien. »

Voila qu'ils étaient rendus au dépôt. Elle prit rapidement deux trois trucs qui trainaient. Du noir qu'elle appliqua allègrement sur les yeux. Du rouge à lèvres qu'elle fit dépasser. Pour une fois, sans qu'elle l'ait vraiment cherché, son maquillage ressemblait pas mal à celui du Joker. Et pas besoin de mettre du blanc de toute façon. Elle l'était bien assez. Il y avait un appareil photo, du liquide, et quelques bijoux. Tout fit un aller simple pour l'intérieur de ses poches.

« Allez, demi tour. » 
« Bien m'dame. »
Ils étaient bientôt de nouveau devant l'entrée.
« Dis moi que j'suis belle »
« Q..Comment ? »
« Dis moi que j'suis belle comme ça. »
« Mais je ne vous vois pas, madame. »
« C'est une très mauvaise réponse ça. Et puis "Madame", ça fait vieille..C'est qu'il m'insulte en plus»
"mais..Mais non !"

Et un p'tit coup, la peau s'en va. Le pauvre hère se retrouva avec un bout de gras en moins. Mais son cri fut étouffé bien vite par la main féminine qui s'était plaquée sur sa bouche.

« J'ai demandé un COMPLIMENT, pas que tu beugles. »
« Aaaah~ mais j'ai rien fait moi..Ayez pitié. J'ai obéi. J'ai été sage, j'ai dit tout ce que je savais. Et puis j'ai des enfants, et une femme qui m'aime..Vous devez bien savoir ce que ça fait d'avoir quelqu'un qui vous aime, non ?»
Il marquait un point. La demoiselle relâcha son étreinte au niveau du cou après avoir rangé le couteau dans sa poche. Oui, elle aimait, il avait touché une corde sensible. Mais même si elle était obéissante, ça n'empêchait pas les mots durs. Nous tairons ce flashback qui ne dura que quelques secondes. Elle rentra dans une fureur noire et lui décocha un coup de poing.

« J'le sais trop bien. »
Elle enfonça le talon de sa chaussure au niveau de son abdomen.
« Argh..Alors vous devriez me..aaaah..Comprendre.. »

Elle releva la manche de son manteau et montra une grosse cicatrice.

« Tu vois ça ? »
Silence. Elle enfonça un peu plus le talon.
« T'as l'air un peu étourdi..Je répète donc..TU VOIS CA?»
« aaah..Oui je vois... »
« C'est l'amour. On obéit, on est gentil, on fait tout ce qu'on peut. ET quand MONSIEUR est pas content on DEGUSTE pour deux. »
Le talon continue son avancée. Il gémit. Elle fulmine.
« ON demande gentiment à savoir ce qui se passe, et on se retrouve contre un mur . »
on aurait presque pu penser qu'elle allait se mettre à pleurer. Il se pensa un instant hors d'affaires. »
Puis, éclair de lucidité. Sourire carnassier.
« On va jouer à un petit jeu. »
Elle ôta son talon et lui intima de ne pas bouger.
« Tu l'aimes ta femme ? »
« Oh oui ! »
« Et elle t'aime autant que toi ? »
« oui, et mes enfants aussi. »
« TRES Bien !  Pas bouger. »

Elle posa l'appareil un peu plus loin, mit le retardateur sur 50 secondes et revint le voir.

« C'est très simple, mais si tu joues pas le jeu. Tu pourras plus avoir d'autres enfants d'abord et après, tu pourras même plus revoir les tiens ; Compris ? »
« C..Compris. »
Elle s'allongea au sol, pile dans l'axe de la caméra. Elle s'arrangea pour que ses cheveux pendent bien du côté qui l'intéressait.
« Alors maintenant tu vas te mettre au dessus, et tu vas rapprocher ton visage du mien.  »
« M...MAIS »
Elle sortit le couteau de sa poche.
« Ttt ttt tt, qu'est ce que j'ai dit ? »
« Mais, que... »
« C'est juste un petit jeu, et après t'es libre. Si tu joues pas... »
« Bon bon bon, d'accord..je.. »

Elle placa la main du pauvre gardien au niveau de sa poitrine, s'assura qu'on voie sur la photo plus les cheveux et la main que son visage et au moment fatidique ou les voyants lumineux se rapprochaient, elle le regarda d'un air mauvais.

« Alors, ça fait quoi de savoir que le dernier souvenir que ta femme aura de toi c'est une preuve que tu la trompais ? »
« Qu... ? »

Et tout alla très vite. Elle plaça sa main qui tenait le couteau derrière sa nuque dans un geste qui pouvait parraître sensuel tout en masquant le couteau et appuya assez pour passer outre sa résistance. Un flash, une preuve accablante. Des larmes. Du sang. Il s'écroula.
Harley se mit à rire.

« HAHAHAHA, t'aurais vu ta tête. »

Elle sortit de la dessous sans le toucher plus, direction le bureau pour prendre un mouchoir. Elle avait mal frappé. Il gémissait encore un peu.

*Et merde..*

Soupirant brièvement, elle ne se laissa pas troubler pour autant.

« Bon, puisque t'es pas mort, on va en rajouter un peu. »

Elle prit un mouchoir en papier donc, et mit un peu plus de crédibilité à la scène. Elle frotta son cou contre ses vêtements pour qu'ils gardent son odeur. Elle déposa quelques baisers sur l'encolure, là ou le sang ne gâcherait rien, elle défit sa braguette et fit en sorte qu'on puisse croire éventuellement à un crime passionnel. Elle retourna vers le dépôt et ouvrit une des cellules. Elle y envoya quelques affaires personnelles du dépôt pèle mêle. Elle revint le voir. Elle griffonna un petit mot « A l'attention de Mme Marsh.- Une amie de la vérité qui vous veut du bien. » A l'intérieur il était question de viol, de 'je me suis échappée de justesse, c'était de la légitime défense, mais je pense qu'il faut que vous sachiez '. Des bons sentiments, des excuses, une justification au crime. Toute une mise en scène inutile, on ferait sauter partout . Le tout dut lu en direct au pauvre Mr Marsh et posé a côté de l'appareil photo.

« Ah ça, elle le savait pas que son mari il violait les pensionnaires hein ? Et encore moins quel type de pensionnaires . HAHAHAh ..Mais dis moi, elle s'appelle comment ta femme déjà ?»
Pas de réponse.
« T'es pas un marrant...Ca m'étonne pas qu'il t'arrive que des malheurs...Bon, j'ai pas de temps à perdre. Et toi non plus. S'il te reste des forces, je serais toi je me débrouillerai pour écrire un démenti mon lapin !  »

Elle essuya le stylo et posa avec son mouchoir en papier la feuille un peu plus loin. Juste assez pour que son manque de sang ne lui permette jamais de l'atteindre. Il continuerait à se vider de son sang lamentablement, ça serait encore douloureux un moment, autant le prévenir.

« C'est qu'un dernier moment à passer va. J'suis pas si cruelle. »

un sourire, un éclat de rire, et Harley disparut en direction des sous-sols, le passe en main.

*Pense à brûler le manteau et la tenue en rentrant...pense a brûler le manteau et la tenue en rentrant. Ah, la porte blindée ! Here we..GO!*

Un coup de pass et une nouvelle aventure, en accéléré. Pendant ce temps là, plus haut  ~
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MessageSujet: Re: Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé]   Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé] I_icon_minitimeLun 30 Juil - 17:56

Il était temps de passer aux choses sérieuses et de dévergonder la salle. Bien que ce n’était pas une salle comme les autres, les spectateurs devaient en avoir plein les yeux, tel était mon but, que les gens se souviennent de moi, de n’importe quelle manière qu’elle soit, peu importe ma façon de procéder. Avant de quitter Harley je m’étais emparé de mon kit de survit préféré, mini–bazooka et pistolet grenade, ainsi que quelque fioles de fumigène. Je regagnais donc la prochaine salle de spectacle.

En arrivant près de la porte en sautillant, je regardais souriant ce qu’il se passait à l’intérieur de la pièce, tout le monde à couvert, deux, trois prisonnier, c’était lamentable, personne ne souriait, il était tous tendu comme des strings. Il fallait que mon entré soit fracassante. Je sortis donc mon pistolet grenade et visa la salle en question.

« -Bien le bonjour à tous c’est moi que v’là ! »

Sans plus attendre, je tendis le bras afin de tiré ma grenade, je me mis à couvert le temps de l’explosion et me redressa tout sourire.

« -Il fallait revoir la déco ! »

J’entre dans les lieux, je ne pense pas qu’ils tenteront quelque chose de futile, surtout après ce que je viens de faire. Je sautille entre les gens et les cadavres, toujours aussi souriant, totalement surexcité par tout ce qui se passe ici. La soirée va être grandiose.

« -Quelqu’un aurait-il l’amabilité de me conduire dans le bureau des archives ? »

Je tourne un peu dans tout les sens pour trouver un volontaire. Personne ne se dévoue forcément, qu’elle bande de loque. J’en attrape un que j’avais repéré sous un bureau. Je me penche pour le regarder.

« -Trouvé !!! » Je le sors de sous le bureau, il se tenait debout près de moi désormais, je pris l’arme qu’il avait à sa ceinture et lui posa sur la tempe. « -Êtes-vous sûre que personne ne veut se dévouer ? » Je souris et tourne avec mon petit poulet pour voir si quelqu’un réagit. Rien ne bouge. « -Très bien. » Je tire ! Rien, il ne se passe rien. Je m’énerve. « -C’est quoi cette arnaque ? » J’hausse les épaules et assomme le type avec le cross. Je le laisse s’effondrer sur le sol, sa tête heurte le coin du bureau et vu la mare qu’il y a sur le sol, je ne donne pas cher de sa vie. « -Une arme est toujours efficace ! » Et j’éclate de rire.

« -Je vous emmène ! »

Je me retourne vers la voix qui vient de se faire entendre. Je me dirige vers lui tout sourire.

« -Ah bah voilà ! Enfin quelqu’un de courageux. »

Mes clowns sont dans la salle, ceux qui ne m’ont pas vu arrivé, son surement mort ou pas en très bon état. Je souris à pleine dent et ajoute.

« -Bon très bien pour le reste je veux que tout le mondes soient en cellule. »

Je sors le mini-bazooka. Il fallait leur montrer qu’il valait mieux suivre les ordres donnaient, même si j’avais très envie d’en achevé un ou deux de plus dans t’atroce souffrance. Se serait sans doute pour mon kamikaze.

« -Je veux voir tout le mondes debout maintenant ! »

Je braquais mon mini-bazooka devant moi tout en tournant sur place, je gardais mon sourire impérissable sur mon visage. Je voyais quelques têtes sortirent de l’ombre.

« -Les retardataires dépêchez-vous avant que je ne perde patience, il ne faut pas faire attendre les invités ! »

Je regardai mes petits clowns à moi, je les avais bien dressé, j’étais fier de moi.

« -Très bien, que tout le mondes déposent son arme à ses pieds, ne tentaient rien d’exceptionnelle, se serait dommage d’abîmer vos costumes ! Les clefs un peu comme à chaque fois que je viens vous voir, je veux tout vos effets personnels sur le sol. »

C’était jouissif ce retournement de situation, pour une fois c’est moi qui fait les poches de ces merdeux. Mes clowns savent bien ce que j’attends, j’en ai une partie qui va me suivre, l’autre qui va enfermer notre flicaille dans les cellules.

Forcément on a un héro dans la salle, enfin un héro c’est vite dis, le mec est sorti de nulle part, par chance il ne savait pas viser, la balle me frôla le bras. Je me mis à éclater de rire.

« -Tu n’aurais pas du mon ami ! » Je n’eus pas le temps de prendre ma revanche, qu’un crétin m’avait piqué mon jouet, il lui a tiré une balle en plein tête, je me tourne vers mon sbire. « -Non mais c’est pas vrai ! Avec qui je joue moi maintenant ? Je voulais le faire hurler, lui faire regretter son action et toi tu me piques mon jouet ? »

Quel bande de crétin, je lui réglerais son compte à cet abruti, mon prochain objectif, il va se rappeler de moi, même dans en passant l’arme à gauche. Oh pis non, il m’avait empêché de m’amuser. Je tirai de force mon volontaire avec moi, me dirigeant vers mon affreux sbire. Premier réflexe, une énorme claque derrière la tête.

« -Désolé parton… »

« -Ouvre la bouche et ferme les yeux ! »

« -Mais je ne vais pas retirer mon masque ! » répliqua t-il.

« -Je ne te donne pas vraiment le choix mon ami ! Exécutes-toi tout de suite ! » Il mit son masque sur ses cheveux, ferma les yeux et ouvrit la bouche, je sortis mon couteau à cran, le plaça dans sa bouche et lui ouvrit un peu plus le sourire, un premier coup. Il hurle, je me marre. « -Relèves toi et recommence ! »

« -Pitié Patron ! »

« -Dieu à pitié ! Pas moi ! » Je l’aide à se redresser et lui offre le même cadeau de l’autre côté. Je glisse ensuite une grenade dans sa bouche et le pousse violemment. Et BADABOOM !!! « -Voilà tu es plus pratique en confettis toi ! »

Il était désormais temps d’aller au premier étage, les choses ici allaient suivre les indications laissé et je n’avais plus d’élément perturbateur avec moi, j’étais souriant, tout plein de sang et impatient. J’entraînai ma future victime avec moi, nous étions suivi par la plupart de mes clowns les autres étant entrain de faire le ménage, personne ne devait entrer ou sortir d’ici et la flicaille devaient être en cellule, le plus rapidement possible. Pour le moment j’avais les choses en main et je m’impatientais de rencontrer les jouets du première étage.

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Master Rp

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MessageSujet: Re: Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé]   Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé] I_icon_minitimeLun 22 Oct - 4:25

Double-Face

Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé] Twofac11
Le retard ne se produira plus. Le staff s'excuse vraiment...énormément. Surtout moi (Sphinx)

Blourp. Blourp. Les yeux écarquillés par l'effort, Dent maintenu le caïd jusqu'à ce que ce dernier ne gigota presque plus. L'ancien procureur se releva et tira la chaîne sans un sourire. Une merde ayant une fin de merde. Rien que cela devrait lui donner une certaine joie. Mais non. Il voulait Maroni. Il le voulait et il le voulait maintenant. Et pourtant une partie de lui se sentait très mal à l'aise suite à ce meurtre. Mais c'était futile. Pourquoi montrer de la pitié face à ces racailles qui, eux, n'avaient aucunement démontré de pitié face à lui. D'un pas sûr, il retourna dans le couloir. Il y avait eu des détonations. Le bruit était terrible. Sûrement les clowns qui s'en donnait à cœur joie. Tel une ombre, l'homme glissa le long des cellules et poussa la porte qui menait à un couloir différent. Là où les plus redoutables détenus étaient emprisonnés. C'est en poussant la porte que son œil gauche, le mauvais œil, aperçut une lumière rouge. Silencieuse pour n'importe quel novice, pour un professionnel pour lui, elle était encore plus alarmante que les explosions du Joker. Les renforts seraient là d'une minute à l'autre. Et pas n'importe lesquels. Les durs à cuirs, l'escouade d'élite. Il fallait qu'il se dépêche. Arkham ne lui faisait pas peur. Oh non. Ce qui lui faisait peur, c'était de ne pas retrouver Maroni et de rater sa chance de se venger de lui. Se venger mais aussi de venger Rachel. Il joua avec sa pièce fétiche un moment puis poursuivit sa route. Et il le vit. Le mafioso était debout, il l'attendait. La partie meurtris de Dent lui donna des élancements féroces. C'était dû à une grimace de rage qui se dessina sur ses lèvres. Déchirant son visage jusqu'alors taillé dans le roc. C'est pourtant l'autre qui parla. Il souriait. C'était absurde.

« Dent! Mon ami, comment vas-tu?»

Dent allait bien. Un sourire, étrange, apparut à son visage. Mais son regard resta dur, meurtrier. Et pourtant, seul la chance déciderait de son sort. La vie est un jeu de chance après tout. Aussi absurde qu'un lancé de dé. Sauf qu'ici on parle d'une pièce. Cinquante cinquante. C'est plus juste....Quoique...Pour une ordure dans son genre, il pourrait faire une exception! C'est ce qu'il se disait. C'est ce que Dent disait. Il voulait sa mort malgré toutes ses convictions. Mais une voix sévère le remit dans le droit chemin. Il ne faut pas dévier du chemin des justes. Ce serait jouer avec le feu. Et il avait assez jouer avec le feu ces derniers temps. Sa figure défigurée en était une preuve indéniable.

«Face je te tue. Pile je ne...»
«Non. C'est absurde. Il doit mourir.»

Le problème n'était-il pas déjà réglé? Le sourcil intact de Dent écrasait sa paupière, son œil se plissant en une fente. Il commençait à en avoir assez de se battre avec lui-même.

«Je sais ce que je fais, Harvey. Je sais ce qui est juste pour nous.»

De son coté, Maroni avait quelque peu perdu son sourire. Il voyait un Harvey fou, alliéné. Ce n'était plus la même personne qu'il avait donné l'ordre de détruire. En lisant les journaux, il n'avait pas cru à sa folie. Les gens biens ne deviennent pas fous. C'est impossible. Et pourtant, il était là à se parler tout seul! En dernier recours, Maroni eut un rire grave.

«Alors, tu vas me tuer? Tu crois pouvoir échapper à la chaise électrique après ça? »

Dent s'avança et prit Maroni par le collet au travers de la grille. Le mafioso hoqueta, surpris. Son sourire resta étampé à son visage malgré tout. Il ne croyait pas encore.

«Face je te tue. Pile je ne te tue pas»

La pièce lancée. Silence. Pile. C'était pile. Maroni gloussa, Harvey resta silencieux un moment. Il retenta malgré les protestations de l'autre. Pile encore. Il se passa une main dans les cheveux puis mit en sécurité sa pièce fétiche. Bam. Il fit sauter le verrou de la cellule. Le temps lui était compté, l'escouade d'élite allait arriver d'une seconde à l'autre. Sans parlé de tout l'effectif des forces de l'ordre qui n'était pas de quart de travail ce soir-là. Le mafioso tenta de se défendre mais Dent lui tira dans le pied. Il y eut du sang et des cris. Deux minutes et quelques secondes plus tard, il traînait son lourd corps sur le plancher. Il rejoignit les clowns. L'endroit semblait vide, la plupart des policiers Le hurlement des sirènes retentit. Ils étaient là.

« La chance est une bien curieuse chose. Tu voulais un jouet? En voilà un gros. »

Dent lâcha Maroni. Sans un mot de plus, il se dirigea vers la sortie du commissariat. Il avait dit qu'il ne tuerait pas Maroni mais jamais il n'avait promit que ce dernier resterait vivant. Il allait donner un peu de temps au Joker. Du temps qu'il espérait réservé au meurtre douloureux de Maroni. Il prit la mitraillette d'un des sbires malgré ses objections. Maroni était entre de bonnes mains et pourtant, il continuait de souffrir. Peut-être qu'en tuant un ou deux policiers...Non. Tuer un policier? Ridicule. Il vaudrait mieux tirer en l'air. Et qu'en pensait la pièce fétiche? […] Pile. Encore Pile. Il s'assit en tailleur devant l'entrée, la mitraillette sur les cuisses. Il espérait simplement que Joker ne soit pas gêné du court temps qu'il lui avait alloué pour punir Maroni.
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Harley Quinn




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MessageSujet: Re: Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé]   Event 3 : Mission 1 : Carnage au commissariat (Double Face- Joker-Harley)[Terminé] I_icon_minitimeMer 6 Fév - 16:22

Elle ne savait pas ce qui se passait plus haut. Et elle n'avait pas envie de le savoir. Si elle avait du être au courant, il lui aurait demandé de le suivre. Et puis de toute façon , elle n'avait pas besoin de lui, elle s'était tellement amusée toute seule déjà ! Le pauvre homme était mort dans l'angoisse la plus indescriptible, sachant que sa chère épouse a qui il était restée fidèle penserait toute sa vie qu'il l'a trompé dans son dernier élan de vie. Elle même n'y aurait certainement pas survécu. Si son poussin s'avisait de regarder une fois de plus par le décolleté d'une autre poulette, il goûterait certainement ses propres explosifs. D'ailleurs, en parlant d'explosions

-Bang Bang-

C'était un feu d'artifice là où elle n'était pas. Il savait y faire, il avait le truc, la petite flamme qui fait tout péter sans demander son avis a qui que ce soit. Harley prit son temps de son côté pour farfouiller un peu les tiroirs. Il y avait quelques insignes, un peu de liquide, des préservatifs, des papiers personnels. Rien de bien intéressant. Elle piqua cependant le maquillage et s'assit sagement sur le bureau vide de son ancien occupant en attendant la suite des opérations. Il n'en aurait pas pour bien longtemps. Il avait pris quoi : mini–bazooka et pistolet grenade, ainsi que quelque fioles de fumigène. Ils ne s'ennuieraient pas, c'était la seule chose certaine. Et il y avait le temps de réfléchir à la suite. Certainement qu'ils se feraient à manger, comme les autres et qu'ils iraient se c...Non. Impossible. Ils avaient mieux à faire. Ils vivaient plus fort, et vivraient certainement moins vieux.


-BING-

Nouvelle explosion. Elle en sourit plus encore. Il savait s'amuser, choupinet. Mais finalement il prenait du temps. Elle n'était pas connue pour sa patience exemplaire. Elle devrait bientôt prendre les choses en main s'il ne se pressait pas l'oiseau . Il devait faire quoi déjà ? Non, c'était passé par une oreille et ressorti par l'autre. Et puis finalement c'était trop. Elle décida de mettre la main à la patte puisqu'il ne lui avait visiblement laissé que des restes. Elle se releva agilement et sauta de son perchoir de fortune. Elle ramassa l'appareil photo qu'elle glissa dans son sac, prit sa carte d'identité pour pouvoir trouver l'adresse ou envoyer le tout et elle s'empressa de rejoindre le clou du spectacle.

Conformément à ses attentes, c'était bien calme. Ceux qui avaient paniqué étaient morts, ceux qui ne l'avaient pas fait s'étaient eux mêmes tués d'angoisse. Elle avait manqué la fête. Elle devrait se rattraper sur ce qui reste. Elle ne mit pas bien longtemps à le retrouver, il semait les indices comme le petit poucet avait du le faire dans sa prime jeunesse.

*Poussin, poussin, poussin. C'est normal qu'il te retrouve si rapidement. Mais après tout, tu le cherches hein..Ce n'est pas innocent. *

Des papiers par terre. Elle se saisit d'un. Il avait fait un détour par les archives le coquin ! Il devait avoir quelque chose de bien précis en tête. Et elle le suivrait. Il avait monté d'un étage ? Déja ? Sans elle ? Oh, il aurait des comptes à rendre ! Elle pressa le pas. Lorsqu'elle arriva en haut, il était là. Il manquait quelques uns des sbires et il en gardait un avec lui. Elle posa ses mains sur les hanches et soigna son entrée.

« Alors, on s'amuse sans moi et on essaie de s'échapper ? »

« Oh ! Harley, ma douce, chère et délicieuse harley, que vas tu t'imaginer là »

Elle allait répondre mais il fut sauvé par les girophares.

« PATRON, ILS SONT LA »

-BANG-

Il avait paniqué. Il avait pris une bien jolie balle entre les deux yeux. Harley applaudit. C'était merveilleusement bien orchestré. Le Joker lui envoya en le poussant assez fort son otage. Elle l'accueillit à bras ouvert. Elle lui murmura

« T'es notre porte de sortie »

Cela ne le rassura pas. Mister J, lui, ne tarda donc pas à s'adresser à l'homme de la situation, trainé à ses pieds par Monsieur 'j'ai deux têtes mais pas quatre yeux » en personne !

« Ah, Maroni. On dirait que t'as loupé une marche ? »

Il ne trouva pas la blague très drôle. Grand mal lui en prit.

« Et ça tombe bien, ton copain surveille un peu pour qu'on puisse jouer. »

« Mister J. On a pas vraiment le t.. »
« Ta gueule poussin. Papa règle un souci. »

Elle se tut. Finalement il avait écouté son conseil, il ne fit pas trop traîner les réjouissances.

« C'est dommage, t'avais une belle gueule quand même. »

Et fatalement, comme bien d'autres, il se retrouva avec une grenade dans la bouche. Avec un retardement. 3 minutes et demie précisément. Mister J sourit, entoura sa bouche de scotch pour qu'il ne puisse pas se libérer et vint voler un baiser à harley.

« Heureusement que tu m'as appris comment fallait cuire les œufs.  Allez, on s'en va, j'veux pas voir cette omelette la. Et ça va les occuper les poulets. Pendant au moins...bah trois minutes du coup. »

Elle sourit et fit signe aux autres de les suivre. Peu furent interpellés. La soirée fut mouvementée. Ce soir là. Au chaud, bien planqués, ils se sont fait des œufs à la coque en souvenir de Maroni qui, si encore vivant, avait du passer un bien sale quart d'heure.

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