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 Ra's Al Ghul

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Ra's Al Ghul

Ra's Al Ghul


Messages : 25

Age du joueur : 35

Date d'inscription : 02/12/2012

Localisation : Egout de Gotham City (actuellement), Moyen Orient et Extreme Orient (anciennement)


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MessageSujet: Ra's Al Ghul   Ra's Al Ghul I_icon_minitimeJeu 27 Déc - 1:20

Acte 1

« Dans la tête du Démon »

Synopsis : Ra’s Al Ghul nous donne sa vision de Gotham City et explique pourquoi il se doit d’y intervenir.


L’échiquier citadins est déployer, les nombreux pions à leurs places, la partie peut commencer. Dérisoire sont les affres de l’attente lorsque le gout de la victoire se fait sentir. La ville n’est qu’une place forte de plus à purifier, une place forte de la damnation humaine tout comme le furent d’autre en leur époque. Les mécréants y pullulent corrompant les âmes par vilenies, par sournoiseries et tout ce qui fait d’eux la lie d’une humanité à l’agonie. Nul doute qu’ils se battront jusqu’au bout je peux sentir leurs instincts de conservation, leurs volonté de destruction, leurs soif de toute puissance perpétuels ingrédients d’une société sans foi ni lois ou le vice est pris pour vertu.

Toujours il me faudra ruser, connaitre l'ennemie comme la chair de ma chair, vaincre par les armes en dernier recours puis, lentement et méthodiquement distillé les hommes de bien qui agirent de ceux qui ce dérobèrent, ceux qui luttèrent vainement pour le bien de ceux qui ce rallièrent à la gangrène. Puis il me faudra instiguer l'espoir, oui l'espoir dans le cœur de chaque habitants d'une ville débarrasser de la corruption et du parjure qui la salie pour qu'enfin, lorsque la dernière âme souillé sera tombé, j'eusse utilisé l’espoir d’une vie meilleur à porter de main pour ultime punition des pleutre et des couards avant la sentence de mort. Survivront seulement ceux qui s'en seront montrer dignes car tel est la Voie de Gotham ; brûler, sombre et aride, pour renaitre, glorieuse et verdoyante.

Comment pourrai-je les épargner ? Ces faibles d'esprits égoïstes n'agissant que pour eux-mêmes ? Ceux-là même qui laissèrent ces lieux sombrer dans la folie tout ployant sous la horde d’ignominies sans âmes s’abreuvant chaque recoin de la ville comme un virus en expansion. Un cancer dévorant, rongeant sous leurs yeux chaque jour un peu plus une Gotham qui toujours hurle de douleur, se débat, lutte en vain pour se maintenir hors de l’eau. Surprise sous le choc d'horreur et d'effroi qui l'assaille la ville manque de souffle et peine à lutter contre le mal la traînant dans l’abîme ténébreux du chaos dont les faibles et les lâches servent de fondation. Non, aucuns couards ne seras épargner moi vivant, je gage qu'ils paieront leurs faiblesse tout comme d'autre auront répondus de leur mesquinerie dans l'intérêt d'une ville purifier. Moi vivant, Gotham survivra.

Elle fabrique des anticorps tel homme masqué, tel homme de lois, tel autre justiciers enfantin qui ne sont que vaines tentatives de recouvrer santé, car ceux-ci seront vite déborder et ploieront sous l’effort comme le blé sous le vent, comme les flammes sous la pluie, comme la gazelle sous le lion. Simplement parce qu'éperdu d’archaïques principes moraux ils se refusent de faire ce qui est pourtant nécessaire ; la saigner. Éradiquer le mal par une justice implacable, là seul est le remède que la ville attend désespérément mais ils continuent, tel des ménagères obstinés, à nettoyer et rangé contre toutes raison. Ampli d’un besoin grotesque de reconnaissance illusoire, ils ne sentent plus l’étouffante puanteur de ces lieux, l’horreur dissimulé dans chaque sourire clownesque, les démons cachés sous les figures d’anges déchus poussant le peuple aux bords de la folie. Ils se sont accoutumer de l’âme agonisante d’une ville en perdition et nourrissent désormais le noir venin qui la tue.

Gotham j’entends ta détresse. Ta douleur révolte mon cœur et en ton nom je prendrais les armes et livrerait bataille. Ce simulacre de vie n’a que trop durée, il est temps de lavé tes murs et de te mettre à nue. Tes gémissement prenne fin, oh ma ville, car voici venir ton remède, « rapide comme le vent, silencieux comme la forêt, féroce comme le feu et immobile comme la montagne » Fu-Rin-Ka-Zan est sa devise. Gotham, ainsi viens la Ligue des Ombres pour te guérir…



« L’apprentie Démon »

Synopsis : Initiation d’une nouvel recrue au sein de la Ligue des Ombres et découverte des enseignements de Ra’s Al Ghul.

Chapitre1 :

Henry Ducard

En cette nuit d’hiver, le ciel avait l’air d’une grosse panse grisâtre sur le point d’éclater tandis que Sandra Wu-San ce dirigeait vers un établissement à la mine lugubre en face duquel cloportes et loques humaine tapissaient les trottoirs de part en part. La misère que dégageaient les habitations de fortune de ceux-ci faisait l’effet d’une gifle à la face du monde imprimant la pensée d’une évidence indéniable ; « voici le visage cacher de Gotham City, modèle sociale-économique du monde ! ». Partout des sans-abris ivres et puant se battaient ci et là, qui pour une bouteille d’alcool qui pour un vêtement qui pour on ne sait quel autre raison d’ivrogne pendant que Sandra, jeune fille eurasienne d’immigré asiatique, priait chaque instant de ne pas finir sans culottes, jambe écartés, violée sur une bouche d’égout au coin d’une poubelle. Des yeux noir luisant sous quelques lueurs de flammes nocturnes épiait chacun de ses pas, pourtant rien au monde n’aurait pu lui faire rebrousser chemin lorsque, marchant, elle ressassait les invectives de Ducard ; « Une société ne traitant pas ses sujets avec équité et compréhension est une société pervertie contre laquelle il faut faire front ! Pourquoi le travail de vous autres auraient-ils moins de valeurs que celui d’un boursicoteur ou d’un marchand ? Pourquoi n’auriez-vous droit qu’aux sinistres bas-fonds d’une ville où certains résident dans des châteaux ? N’êtes-vous pas le sang irriguant les artères de Gotham ? Camarades travailleurs et travailleuses, tenez le pour dit ; chaque être de cette ville trouvera en SavEarth un recours de poids et une oreille attentive quel que soit ces déboires causer par la perfidie d’un système moribond. Je vous remets donc ma carte écrite dans votre langue afin que chacun de vous puisse me rejoindre s’il le désir et recouvrer les droits due à tout hommes que la terre a vu naître. ». La clairvoyante tirade en mandarin parfait de justesse et de conviction de la part d’un monsieur tout le monde surgissant dans l’entrepôt clandestin de monsieur Fong l’avait surprise et laisser pantoise. Qui donc pouvait s’introduire en plein jour, jean et baskets, dans un atelier détenue par les triades chinoises avec pour seul armes une grande gueule et des talents d’orateurs ? Certes pas n’importe qui d’autant plus si les hommes dudit Fong sont retrouvés gisant sans vie près de toutes issues menant à l’atelier, laissant tout loisir aux esclaves modernes ayant troquer liberté et famille contre les promesse illusoire d’une vie meilleur à Gotham City, de reprendre leurs vie en main. Tout ce massacre d’une propreté remarquable, pas de sang, pas de bruit causé par un simple altermondialiste humanitaire débarqué comme la neige en plein juillet ? Grand dieux non, ce Henry Ducard devait être bien plus qu’il n’y laissait paraitre pour avoir accomplie pareil prouesse à moins peut-être qu’il eut disposé d’une aide quelconque auquel cas de toute façon, Sandra devrait s’adresser à lui et lui jurer fidélité.
Sitôt libéré et déjà tellement désireuse de recouvrer ses traits si familier et rassurant d’exploité clandestins dans une ville d’où elle ne connaissait que les sous-sols, dont la langue lui était inconnue et les mœurs lui paraissaient douteuses, Sandra entra enfin dans le bâtiment couronné d’une immense pancarte clignotante SavEarth. A l’intérieur une foule de miséreux de tous âges étaient attablé dans un silence de mort dont on ne pouvait dire s’il était cause du ressassement de leurs tristes conditions ou du gout peu ragoutant de la soupe populaire qui leur était servie. La jeune eurasienne regarda la petite carte au slogan SavEarth : « Pour un monde épurer, riche de de toute beauté. » et resta interdite, attendant la manifestation de son bienfaiteur. A près de minuit, des bénévoles s’activaient encore au sein de l’association caritative ouverte 24h sur 24, 7jours sur 7 et l’un d’eux, aux tempes grisonnante remarqua la jeune femme.

_Bonjour, dit-il dans un mandarin d’où pointait un léger accent, Je me nomme David, puis-je vous aidé madame… ?

Décontenancé du fait qu’il s’agissait de la deuxième fois de sa vie qu’un étranger eut parlé sa langue avec une remarquable aisance elle lui montra sa carte de visite sans piper mots.

_Suivez-moi je vous prie, lâcha-t-il inexpressif.

Ils passèrent par un long corridor longeant des chambres aux lits superposés bondés, avant d’entrer dans une salle dont la porte avait l’écriteau « administration ». Là David s’arrêta brusquement avant de ce retourné comme un fauve et de lui saisir le bras de sorte que la pauvre femme se retrouva genoux à terre, bras gauche fermement maintenue par le bénévole dès lors devenue tortionnaire.

_ Que venez-vous cherchez ? dit-il d’une voix suave et douce.

Mais que ce passait-il ? Qu’avait-elle bien pu faire et dire pour ce retrouvé dans pareil situation ? Elle avait scrupuleusement suivie les indications de la carte, n’avait parlé à personne dont de toute manière elle n’aurait rien compris alors pourquoi ? Pourquoi lui infliger pareil sévices alors qu’elle venait quérir l’aide qu’on lui avait promis ? C’était-ont une fois de plus joué de sa naïveté comme le vieux Fong auparavant ?

_Ducard, Henry Ducard ! Hurla-t-elle dans l’espoir qu’il lâcha vite son étreinte.

Mais cela n’eut pas l’effet escompté, pire même il resserra l’étau manquant de lui briser le poignet. Les yeux exorbités de douleur et de terreur Sandra ne comprenait rien à ce qui lui arrivait.

_Que venez-vous cherchez ? Prononçât-il de son inébranlable voix suave et douce.

La douleur la disputait à la surprise et Sandra crut son bras perdu lorsqu’elle se mit à pleurer en prononçant d’inaudibles gémissements. Son cœur battait la chamade mais quelle folie d’être venue ici ! Suivre la piste d’un étranger surement traquer et rechercher mort ou vif part toutes les triades chinoises de la ville à l’heure qu’il est relevait de la folie ou de l’inconscience mêler et maintenant elle allait être abattue par un des hommes de main de l’homme qu’elle aurait pourtant suivie jusqu’au tréfonds de l’enfer. Toutefois le bras menaçant de céder, elle réunit ce qui lui restait d’honneur, de rage, d’instinct de survie et d’intégrité et l’envoya en pleine face de David.

_ La liberté !! Rugie-t-elle larmoyante.

Sitôt dit sitôt libérer des bras du tortionnaire qu’elle n’osa même pas regarder, tandis qu’il s’éloignait d’elle et que Sandra cramponnait son membre endolorie, préférant fermer les yeux tout en gémissement de douleur à outrance. Semblant avoir réussi à délivrer une sorte de code secret d’entrer on ne sait où, David ne dit mot et la regarda longuement et froidement comme quelque prédateur sans âmes dans l’attente d’une proie, si bien que lorsqu’elle daignât s’enquérir de son sort il était encore à la regarder, immobile comme un pot de fleur.

_Enfant de putain, fils de chienne !! Beugla-t-elle de toute sa colère.

Le bénévole sourie toutes dents dehors et un regard charmeur avant de rétorquer toujours d’un calme à glacer le sang.

_Souviens toi bien de cette douleur car celle-ci marque le tournant de ta vie. Ce pose à toi deux routes ; l’une menant aux brebis d’un beau troupeau dans de vert pâturage, l’autre menant aux loups de forêts austères qui te châtieront au centuple de ce que tu viens de subir. Tu te risques à perdre une voie riche d’issues pour en emprunter une à sens unique alors…Réfléchie et choisie bien : Loup ou Brebis ?

Face à l’aspect solennelle de la question la jeune femme avait céder la colère à la raison et son cœur berçait entre deux eaux. Revoir sa famille lui serait-il possible ? Qu’entendait-il par emprunter une voie à sens unique ? De quoi parlait-on ? Sandra ne savait pas mais ce dont elle était convaincue c’est que l’homme qui l’avait libérer de sa condition et remit les cartes de sa vie entre ses mains ne l’avait pas menacée de le suivre. Il l’avait même tout juste regardé alors qu’une profonde admiration voir même plus, l’avait submergé lorsque, découvrant les mafieux chinois morts aux portes entre ouverte, elle avait compris toute la portée de ses psalmodiassions à l’accent communiste. Savait-elle seulement si sa famille était vivante ? Qu’importe maintenant, sa seule famille était à présent Ducard, Henry Ducard et elle le suivrait coûte que coûte.

_Loup, répondit-elle enfin sereine.
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